Un projet pilote dans le secteur public écossais le prouve: la semaine de 4 jours augmente la productivité et le bien-être des employé·e·s. Avec un salaire complet, deux administrations ont travaillé 32 heures et obtenu des résultats impressionnants en termes de performance et de santé. Un modèle d'avenir.

Le succès de la semaine de 4 jours repose sur la culture d'entreprise, pas sur les processus. Le courage des leaders, la confiance envers les collaborateur·rice·s, l'autoréflexion et le désir d'un meilleur environnement de travail sont les véritables moteurs d'un changement durable.

La discussion autour de la semaine de 4 jours prend de plus en plus d'ampleur dans le monde du travail moderne. Ce modèle, qui vise à réduire les heures de travail tout en maintenant le même salaire, est considéré par beaucoup comme la clé d'une meilleure productivité, d'une satisfaction accrue des collaborateur·triceset d'un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Récemment, j'étais l'invité dans un épisode du podcast Marketing Booster pour aborder divers

La discussion autour de la semaine de 4 jours est un sujet brûlant. Elle est souvent présentée de manière polarisante, comme une contradiction entre les aspirations des jeunes générations et les réalités des entreprises – comme on a pu le voir récemment chez Markus Lanz. Pourtant, l'affirmation selon laquelle la semaine de 4 jours n'est qu'un avantage dont il faut en assumer le coût est un mythe largement répandu.

La semaine de 4 jours se retrouve dans plus d'entreprises suisses que l'on pourrait penser et également dans de nombreux secteurs.